La Chambre, Axel V

Tu te réveilles attaché dans un lit, il y a beaucoup de lumière autour de toi.
Tu vois des ombres floues bouger autour de toi... D'ailleurs, tu n'arrives pas a distinguer quoi que ce soit.
Tu entends une voix qui dit:
"Ac ojk héloaccé."
Une des ombres s'approche, puis tu entends:
"J'ac leij fcuaj, hojkoq sucmo. Ed j'essifo to leij."
Tu ne comprends pas ce qu'il se dit...
Que fais-tu?

Edit: (désolé, mal lu...) J'essaye de savoir ce que sont les ombres floues qui baragouinent, tout en testant les liens.

Les liens sont bien biens serrés...
En te débattant, tu entends une des formes te dire:
"Hojkoq sucmo,socu do lu fuj tihoh."
Puis, tu te rendors après avoir senti (problème personnel de grammaire... C'est bon ou pas?) une piqure à ton bras droit...

Tu te réveilles dans la même chambre, mais tu es seul, et détaché.
Tu es dans un lit d'hôpital.
Autour de toi, il n'y a rien de particulier, à part une table de chevet vide, et le bouton d'alerte.

Si je suis pas trop groggy, je me lève et vais regarder par la fenêtre pour essayer de me repérer (étage et lieu si connu, passant ou non, gardé ou pas, etc..). Puis j’appuie sur le bouton d'alerte (en même temps, un énorme bouton rouge comme ça, ça donne envie...)

Tu es un peu trop groggy pour te lever, mais tu arrives à t'assoir.
Par la fenêtre, tu n'arrives à voir que le sommet des arbres. Probablement des pins.
Il fait jour, et le temps est clair.
Quand je parlais de bouton d'alerte, c'était plutôt un bouton d'appel comme dans les hôpitaux.
Quoi qu'il en soit, quand tu appuis dessus, tu n'entends aucun son...

Pour le bouton, j'avais compris ^^

Ensuite j'attends de pouvoir marcher pour pouvoir aller voir à la fenetre et observer, puis pour sortir de la chambre. (Tu as bien dis qu'il n'y avait aucun objet à part la table de chevet (vide) et le lit?)

[Oui, aucun objet. Tu as bien tes draps]

Le temps que tu te sentes mieux, tu entends des bruits de pas non régulier dans le couloir, et un grand bruit comme un coup de poing dans la porte.
S'en suit une voix ivre qui parle fort:
"Leij uccoq uhhokoh to mo vuaho sxaoh! Rehtoc!"
Mal grès le fait que tu ne connaisse pas cette langue, tu comprends que l'appel le "fait chier".
Puis, les bruits de pas s'éloignent.

(Quelle magnifique manière de soigner les patients....)

Je récupère la taie d'oreiller (les draps aussi, mais pas s'ils sont encombrants, en cas de course) puis je sors dans le couloir juste après que les bruits de pas aient disparus, pour éviter de croiser cette charmante et accueillante personne.

Tu ouvres la porte sans soucis. Elle ouvre sur un couloir aux murs gris clairs, et une autre porte en face.
Tu es vers le milieu du couloirs, il y a d'autres portes de chaque côtés.
Il y a des appliques murales d'une couleur jaune pâle qui éclairent la pièce.

En mémorisant tout ce que je vois (plan, nombre de portes, bruits éventuels, et tout le reste aussi), je me dirige discrètement du côté opposé au bruit de pas précédemment entendu. Si je trouve des objets, je les ramasse au passage.

La personne est arrivée de droite, et marcha vers la gauche. Tu vas donc à droite.
Dans cette direction, tu compte quatre porte de chaque côté.
En avançant, tu remarques que le sol n'est pas plat, il monte très légèrement.
Au bout du couloir, tu trouves une double porte à battants avec deux petites fenêtres rondes situées juste au dessus de tes yeux.

Je ne veux donc pas croiser cette créature qui est plus grande que moi, ni ses congénères d'ailleurs.
Je me hisse sur la pointe des pieds et regarde par les fenêtres pour voir ce qu'il y a derrière la porte.

Tu vois un homme en train de parler à un jeune garçon en gesticulant. Le garçon semble angoissé.

J'entrebaille la porte sans bruit et j'écoute ce qu'il dit.

Toujours cette langue étrange...
Tu comprends que l'homme gronde le garçon car il est sortit de sa chambre.
Cet homme semble plus sobre que celui qui es passé tout à l'heure...

Si le garçon semble comprendre/parler la langue, je vais l'aborder après que l'homme soit parti. Sinon, je regarde dans quelle chambre il va, je le retiens et continue mon exploration.
Et j'écoutes toujours tous les sons environnants (je crois que j'avais oublié de le dire)

En fait, le garçon suit l'homme qui se dirige vers ta direction.

Ah....
Si j'ai des chances de l'assomer instantanément avec l'effet de surprise, je tente. Sinon, je cours (le plus silencieusement possible) jusqu'à ma chambre et me remet dans le lit.

Les portes sont visiblement à sa taille, donc tes chances de l’assommer sont minces...
De ta chambre, tu entends la porte voisine s'ouvrir, se refermer, puis, on toque à ta porte.

Je m'allonge sur le dos, je ferme presque entièrement les yeux (pour voir sans que l'on voit que je vois) et je ne dit rien.

Tu entends une sorte de "grumf", puis des pas qui s'éloignent.

J'attends un petit moment, puis je me relève, vais dans la chambre à côté (quand il n'y a plus personne dans le couloir, et sans bruit) et demande des explications au petit garçon

Tu entres et trouves le garçon en train d'essayer d'ouvrir la fenêtre, sans vraiment faire attention à ton entrée.

Je demande au garçon, dans la langue la plus généralement parlée (celle du monde si je ne suis pas dans notre monde, anglais sinon) puis essayes dans d'autres langues tant qu'il ne comprend pas, s'il sait où nous sommes, ce que l'on nous fait, pourquoi il veut partir (si ce n'est pas évident selon la précédente réponse), qui il est, ce qu'il fait là (et ce que je fais là aussi s'il le sait) et quelques autres questions du même acabit.
S'il comprend vraiment rien à rien (sale gosse!) je l'aide à ouvrir la fenêtre et repart en exploration après.

Petite précision importante, la tête des gardiens est elle assez petite pour pouvoir rentrer dans la taie d'oreiller que je me trimbale? (histoire, si possible, d'aveugler en cas de confrontation, par exemple...)

[La tête des gardiens entre dans la taie]

Tu parles anglais, il se retourne et demande:
"Giea?"

Par ailleurs, ce "gosse" fait ta taille, ou plutôt, tu as sa taille, à savoir environ 1m40.