La Chambre, Blacksnake

Tu te réveilles dans le noir le plus total en entendant le cris d'une personne au loin... A moins que ce ne soit étouffé par un mur...
Il a l'air d'y avoir de la place autour de toi, mais tu es couché sur un sol dur mais tiède.
Tu est semble-t-il habillé.
Que fais-tu?

Je me lèève en me mettant sur le ventre, dans le but de prendre mon temps pour me lever et reprendre mes esprit, puis je vais contre le premier le mur en face de moi, Et apres j'essaye de voir ce qu'il y a dans la piece et ce que j'ai sur moi.

Au bout de trois pas, tu tombes sur un mur.
Au touché, tu es en costard, et il y a un papier dans la poche de la veste.
Par contre, tu n'y vois toujours rien, et le cris continue avec quelque respirations paniquées.

Je remet le papier dans ma poche, je vais contre le mur où j'entend les cries et je dit à voie haute et un peu fortement " Qu'est-ce qui se passe ? Reprenez votre soufle, calmez-vous, Je suis juste à côter."

Avant que tu n'ai fini ta phrase, le cris s'est arrêté net, et la lumière s'allume. Tu es dans une pièce vide cubique de trois mètres d’arête, avec une porte sur chaque côté (mais pas au plafond ni au sol...)

En étant fort étonné, je me met à lire le papier que j'avais remis dans ma poche en faisant attention à tout bruit qui arriverai.

Sur le papier, il est écrit:
"N’aie pas peur, tu es volontaire. Rejoins le bord du bâtiment et ça ira. C'est toi qui a écrit ce mot."

Je rerange le papier dans ma poche, et je me dirige vers la porte qui se situ en face du premier mur que j'ai rejoints, celui par lequ'elle je pourrai supposer être entrer dans cet piece, et je l'ouvre délicatement, tout en essayant de regarder de l'autre coter de la porte pendant que j'ouvre.

C'est précisément de là que venait le cris, qui reprend au moment où tu ouvres la porte.
Tu y vois une forme floue semblant à un être humain en train de crier.
La pièce en elle-même est identique.

Avant de prevenir ce qui pourrait être un homme, j'ouvre plus la porte, ou alors je commence à rentrer, mais je veux savoir dans qu'elle état est l'individu avant de lui faire part de ma présence et surtout d'avancer.

Cette "chose", semble regarder en l'air en souffrant.
Il ne semble pas réagir à ton entrée.

Je me tient pres de la porte, pres à refermer, "Monsieur ou Madame, est-ce que vous m'entendez ?"

Aucune réaction...
Le cris continue.

Je laisse la porte ouverte, et m'avance prudamment, pres à partir en arriere en cas de réaction brutales, et vais jusqu'à poser ma main sur son épaule, je suis pret à retiré à main.

Ta main passe au travers...
Et, sans aucun lien avec toi, le cris s'arrête, et la personne disparait.

Je reprend mes esprit apres cet vision fantomatique, et continu vers la porte d'en face, en allant donc tout droit de là d'où je viens.

En passant au milieu de la pièce, tu remarques qu'il est ici plus glissant...

Je recule délicatement en gardant mon équilibre, une fois arrivé dans le bail de la porte, j'essaye de mieux distinguer ce qui fait que se soit glissant.

Il semble que le sol ait été très bien nettoyé.

Je longe donc le bord de la piece, en me tenant un peu au mur au cas où çà glisse, pour atteindre toujours la salle d'en face.

Tu arrives au bout sans problème, et tu fait face à une porte comme la précédente.

De la même maniere que la precedent porte, j'ouvre la porte.

Tu vois une pièce vide sans sol...
Enfin, c'est ce que tu pense voir, mais il y a une pièce de monnaie au centre qui ne semble reposer sur rien...

Je retire ma veste, et en la tenant, je la pose à plat sur le sol devant moi, pour voir si c'est pas un faux sol.

Il semble en effet que ce soit un trompe l’œil, ou un sol transparent.