Monster RPG, Gabriel-MJ

La première chose que tu ressens est une sensation de chaleur agréable et de confort, puis ta conscience s'efface.

Tu sens autour de toi du chaud, mais il y a une partie de ton corps qui n'a pas chaud, elle a froid. Cela ne vas pas et tu bouge pour retrouver du chaud tout autour de toi, mais quelque chose t'attrape par la peau de ce que tu appelle ton coup et te soulève de la zone confortable. Tu sens quelque chose d'humide et de râpeux passé sur tout ton corps, puis tu es installer devant une matière chaude et confortable qui dégage une odeur rassurante.
Tu parviens à ouvrir les yeux et vois devant toi une forme que tu trouve familière, tu t'approche d'elle et vois dessus des pointes desquelles coulent un liquide blanc dont l'odeur fait naître en toi une sensation que tu nomme "la faim", tu t'approche de ce liquide blanc et commences à téter goulument.
D'autres forme viennent se serrer à toi et commencent à téter le liquide blanc, nourricier et délicieux.
Tu entends un son, comme un grondement doux et agréable à tes oreilles, tu comprends : "Mangez et dormez mes petits, vous êtes à l'abri." Tu comprends qu'il s'agit de ta mère, un être qui est là pour te protéger.
Une fois ta faim calmer tu te rendors contre cette matière si chaude, confortable et familière.

Tu es brusquement réveiller par des cris, en regardant autour de toi tu vois des êtres de très grande taille à la peau rose et se déplaçant sur deux pattes. Ils s'approchent de toi, mais une créatures de taille plus proche de la tienne, tout en étant beaucoup plus grande que toi, et d'une forme que tu reconnaît comme pareil à la tienne, quatre pattes, une fourrure et une queue, se met en travers du chemin.
Ta mère émet un son dont le message te dis "reste calme, ces créatures sont des humains, se sont nos serviteur à nous, les chats. Il prendront soin de toi ***, tu n'aura qu'a les débarrasser des rats et ne pas trop les blesser pour qu'ils te vénèrent et te nourrissent." Tu comprends que *** est ton nom, mais malgré ses paroles rassurante tu as peur lorsqu'une grande main t'attrape et te prends dans ses bras, tu es tétaniser par la peur.

Plus tard, tu reprends le contrôle de ton corps, tu es sur une couverture, moins confortable que le ventre de ta mère, mais cela peut aller. Il y a proche de toi trois petite coupelle, une remplis d'un liquide blanc comme celui de ta mère, une d'un liquide incolore la dernière de petit objet rond à l'odeur étrange.
Il y a proche de toi un humain, plus petit que celui qui t'as enlever à ta mère.
Tu regarde ton environnement et découvre que tu es dans un lieu clos de tout côté, ce que tu décide d’appeler des murs, partout, en haut, en bas, à droite, à gauche, devant, derrière, tu es cerné. Tu repères cependant une ouverture dans l'un des murs, donnant sur un espace noir.
Il y a aussi des objet de tailles et de formes variées dans ce lieu, certain pourrait te fournir une cachette efficace.

Je vais d'abord boire un peu du liquide blanc, pour vérifier si c'est le même, puis essayer de déterminer quelles sont ces petites choses rondes dans la troisième coupelle. Je vais les regarder, les sentir, en sortir une et la faire bouger, appuyer dessus, et si jamais rien de tout ça ne me donne d'informations, je goûterais.

Tu t'approche de la coupelle de liquide blanc et en lape un peu, puis beaucoup. Ce n'est pas tout à fait la même chose que celui de ta mère, mais il y ressemble beaucoup, il est bon et gagnerait surement à être un peu plus chaud. Tu fini la coupelle avant de t'en rendre compte.
Tu porte ensuite ton attention sur les petites boules de la troisième coupelle, elle ne sont pas si ronde que ça en fait, juste arrondies. Elles ont un mélange de deux couleurs, du rouge et du blanc, il y a aussi deux odeurs différentes qui s'en dégage, les deux odeurs sont agréables, même si l'une d'entre elle l'est plus. Tu en pousse une hors de la coupelle et entends un bruit derrière toi, en regardant tu vois que l'humain c'est rapproché de toi, mais qu'il est toujours assez loin. Tu reporte ton attention sur la boule que tu as sorti, elle roule sur le sol quand tu la pousse mais ne va pas très loin et chaque fois que tu le fais tu entends le même bruit venant de l'humain derrière toi, ce bruit n'a pas l'air menaçant. Tu appuie sur la boule et celle-ci se brise en deux parties, une blanche et une rouge, la partie rouge et celle avec la meilleure odeur. Tu donne aussi un coup de langue sur chaque morceaux de la boule, ils ont tout les deux bon goût, mais le morceau est certainement le meilleur des deux.

Je vérifie que l'humain n'a pas bougé, puis je mange le morceau rouge. Si c'est vraiment bon, je casse toutes les boules pour manger tous les morceaux rouges. Il sera temps d'explorer après.

L'humain n'a pas changé de place, mais il s'est un peu plus penché vers toi, et de longues mèches de poils d'un jolie jaune sont tombées par dessus sont épaules, de ce que tu vois, il n'a des poils que sur le dessus de la tête et une couverture sur le reste du corps.
Le morceau rouge est succulent, tu casse donc toutes les boules pour manger tout les morceaux rouges.
Il est temps d'explorer ce lieu.

Tu avance dans cette endroit, que tu décide d'appeler une salle, il y a un grand objet rectangulaire dans le coin de la salle, sous lequel tu peux avancer sans problème, il en pend des couvertures. Il y en as un autre plus fin au niveau du sol très proche, il semble beaucoup plus haut mais il y a toujours de la place pour toi dessous.
Tu remarque que quand tu te déplace l'humain te suit sans s'approcher plus et se penche pour regarder sous les objets quand tu t'y aventure. Il passe beaucoup de temps à produire ce sont relativement aiguë.
Tu continu d'explorer la salle au niveau du sol, il reste trois gros objets, l'un est un gros bloc rectangulaire posé au sol, impossible de passé dessous. Les deux autres sont ensembles, il y a une nouveau rectangle, mais plus haut et avec de la place en dessous pour ranger le dernier gros objet, un cercle avec trois pieds, alors que tout les rectangle avaient quatre pieds.
Il y a aussi une grande couverture bien épaisse au milieu de la salle et dans un coin une couverture avec tes trois coupelle.

Quand tu t'approche de l'ouverture dans le mur l'humain se rapproche de toi.

Ces derniers objets semblent particulièrement intéressants, mais je m'en occuperai plus tard. Si l'humain se rapproche de moi, il est peut être temps de s'intéresser à lui. Je décide donc de m'arrêter, et d'attendre en le regardant. Si il émet de nouveau le son aigu, je vais lui dire mon nom, en espérant qu'il me dise le sien.

Sous ton regard l'humain fait un pas de plus vers toi en tendant l'une de ses pattes avants, tu remarques que celle-ci est vraiment étrange, elle a de très longs doigts. L'humain émet des sons :"Chaton chaton, viens ici petit chaton, que je te prenne dans mes bras et que je te caresse."
L'humain a une voix assez aigu, mais beaucoup moins que les bruits qu'il émettait tout à l'heure. Tu lui répond avec ton nom : "***".
"Hi, hi, hi !" Encore ce bruit aiguë. "T'es trop mignon."
Il fait un pas de plus, en approchant encore plus la patte de toi.

Cette créature ne semble pas agressive, mais assez stupide. Je répète mon nom de plus en plus fort, mais je ne cherche pas à m'éloigner. Si elle m'attrape, j'essaie de me rappeler son odeur, de la goûter (au cas où) en la léchant et de voir à quel point elle est forte en me débattant un peu. Quand elle me lâchera, j'irai étudier cet objet à trois pieds.

"***." "*** !" "Hi hi !" "*** !" "T'es vraiment trop mignon !"
La créature ne semble toujours pas comprendre ton nom. Elle continue de s'approcher de toi et fini par te toucher.
Elle commence par te gratter derrière les oreilles et tu es très surpris par la sensation de plaisir que tu ressent immédiatement. La patte de l'humain continue son chemin en te caressant le long du dos, ça aussi c'est agréable. Elle répète l'opération plusieurs fois puis t'attrape d'un main et te soulève du sol sans difficulté.
L'humaine te colle sur son corps en te tenant d'une patte et en te caressant de l'autre. Tu en profite pour le sentir et le gouter.

Spoiler:

Tu remarque qu'une certaine odeur provient de la créature et maintenant que tu y pense, elle était partout dans la salle que tu as visité.Tu associe ce gout à l'odeur et en arrive à la conclusion que l'humain est une femelle, il s'agit donc d'une humaine.

Tu te rappelle soudain que tu voulais comparer vos force et commence à te débattre dans ses bras.

Spoiler:

Tu ne parvient pas à forcer l'humaine à relâcher son étreinte, mais tu rends le fait de te tenir suffisamment inconfortable pour qu'elle décide de te libérer de ses bras et de te poser par terre. "Tu veux marcher tout seul ? D'accord."
Tu es sur le sol, face à cette humaine, plus petite que celui qui t'avait arraché à ta mère, et tu comprends qu'elle est bien plus puissante que toi.

D'un coup l'humaine commence à te contourner pour approcher de l'ouverture de la salle.

Je décide de l'ignorer pour le moment, et tente d'escalader ce grand objet à 4 pieds, pour atteindre l'objet à trois pieds. Puis j'appliquerais la méthode scientifique : observer, sentir, écouter, goûter, toucher, faire tomber.

Tu t'approche du rectangle allongé et te demandes comment faire pour l'escalader, puis tu sens dans tes pattes une sensation et quand tu te concentre dessus tu en vois sortir des petites tiges courbées, tu appelleras ça des griffes.
Tu plantes donc tes griffes dans le bois de l'un des pieds de l'objet et commence l’ascension.

Spoiler:

Tu parviens à te hisser à grands efforts au pied de l'objet et à en atteindre le sommet. Tu vois une grande couverture et deux autres couvertures plus loin. Tu commences à marcher dessus et trouve cette surface incroyablement confortable. "Ça c'est mon lit, le tiens c'est celui qui es par terre." Il semble que le mot important dans la phrase soit "lit", surement le nom de cette objet. Dans ce lit tu sent fortement l'odeur de l'humaine, mais il n'y a aucun gout intéressant et il est bien trop gros pour pouvoir le faire tomber, comme les objets dessus, il te faudrait plus de temps que tu n'es prêt à y passer maintenant.

Du bord du lit tu te prépare à sauter sur l'objet à trois pieds. Tu vois qu'il est un peu plus bas et a un dessus plat parfait pour un atterrissage en douceur.

Spoiler:

Tu sautes sur l'objet plus petit. "Ça c'est le tabouret pour quand je fais mes devoirs sur le bureau." L'humain semble vouloir te donner les noms de ces objet, mais tu ne comprends pas quels partie de la phrase est le nom. Cet objet n'as pas d'odeur ou de gout particulier, il ne produit aucun bruit de part lui même, ce n'est qu'un gros morceau de bois, bien plus gros que toi.
Du dessus de l'objet à trois pieds tu peux facilement monter sur l'objet rectangulaire avec les pieds les plus longs.

Je prends mon élan et décide de sauter directement sur l'objet aux longs pieds, étant donné que "maidevoar" n'a pas d'intérêt. Peut-être que le dernier meuble sera plus intéressant.

Spoiler:

Tu saute sans problèmes sur le nouveau meuble et tu découvres de nouveaux objets, mais plus petit.
Il y en a des rectangulaire, plat et jaunâtre, un pot noir et un objet long à l'air léger. Tu examine d'abord les rectangles plats, ils ont une odeur intéressante, mais tu ne saurais dire si elle est agréable ou non, quand tu les goutes, le goût te rappelle de loin, en très faible et moins alléchant celui des parties rouges des boulettes que tu as mangé à ton réveille. "Arête de manger le parchemin, c'est pas bon pour toi le parchemin."
L'humain te pousse de la main et t'empêche de poursuivre ton examen de ces rectangles, tu t'avance donc vers le long objet étrange à l'air léger. Il est blanc et plumeux à un bout et noir et doré ainsi que pointu à l'autre, quand tu le renifle, tu te met d'un coup à expirer avec force et par saccade de façon incontrôlée et l'objet s’éloigne de toi, poussé par ton faible souffle. "Attention !"L'humain se précipite pour le rattraper avant qu'il ne tombe par terre.
Tu te dirige alors vers le dernier objet, un pot de couleur noir, il dégage une forte odeur, plutôt désagréable, mais qui se dissipe très vite en s’éloignant, le gout est étrange, certaines parties n'en n'ont pas et d'autres en ont un comme l'odeur mais plus fort et désagréable encore. Tu passe à la face de test consistant à faire tomber les objets pour étudier leur réaction avec le contact violent du sol, mais une patte humaine t'attrape et te pose par terre. "Tu fais trop de bêtises pour avoir le droit de rester sur le bureau, alors retourne par terre."

Si elle m'empêche de poursuivre mes recherches, je vais aller visiter le reste. Je lui exprime d'abord mon mécontentement ("Fi! Vile manante, qui a autorisé l'esclave que tu es à toucher ton seigneur?").

Puis je me dirige vers l'ouverture dans le mur, bien décidé à appliquer ma méthode à tout ce que je trouverai afin d'en cerner la nature.

En approchant de l'ouverture dans le mur tu remarques que celle-ci a rétréci, il y a un grand panneau de boit qui semble pouvoir la bloquer.

Tu passe l'ouverture et l'humaine te suis. Te voilà maintenant dans une nouvelle salle, elle est longue et étroite et dispose de plusieurs panneaux de bois contre les murs, deux sur chacun des longs murs. A l'un des bouts il y à une ouverture dans le mur, mais en hauteur alors que de l'autre côté il n'y a pas de mur, mais un virage qui semble descendre vers la gauche.
Tu entends des sons venir de l'un des panneaux de bois sur le mur d'en face, plus proche de l'accès au bas et d'autres plus nombreux venant justement de ce bas.

Je me dirige vers le panneau d'où proviennent les bruits, et essaie de l'ouvrir. Si je n'y arrive pas, j'ordonne à l'humaine de m'ouvrir la porte.

Tu avances vers le panneau d'où viennent les sons. Tu poses ta patte contre celui-ci et pousses de toute tes forces.

Spoiler:

Le morceau de bois ne bouge absolument pas.
Tu te tourne vers l'humaine et miaule pour que celle-ci t'ouvre le passage. "Miaou." Pas de réaction. "Miaou !" "On ne peut pas aller là. C'est la chambre de mon frère et si la porte est fermée sa veut dire que c'est interdit d'y rentrer." Beaucoup de mots dans cette phrase.

Spoiler:

Bien sur tu ne comprends pas ce qu'elle dit, mais tu comprends quand même qu'elle ne t'ouvrira pas la salle, son mouvement latéral de la tête t'a aidé à le comprendre.

Cette esclave est décidément très mal formée. Je vais aller gratter à un autre panneau, disons le plus proche de celui par le quel je suis arrivé. Si elle refuse de l'ouvrir, je vais essayer de descendre vers les voix, trouver un suivant plus efficace.

Tu approches du panneau en face de la salle de l'humaine et grattes dessus. Ce coup si elle semble obéir et le pousse. "C'est la salle de bain, je crois que tu vas pas aimer." Dans cette nouvelle salle tu es immédiatement assailli par une forte odeur d'humidité, il y a plein d'eau ici, tellement qu'elle flotte dans l'air et commence à toucher tes poils.

C'est très étrange, j'ignore tout de ce nouvel élément. Je décide d'avancer afin de découvrir cette pièce, et d'appliquer la seule méthode valable.

Tu rentres dans la pièce et sens l'eau flottant dans l'air commencer à coller ta fourrure à ton corps, il devient pénible de marcher et de respirer dans ce lieu.
Tu y vois un grand meuble en bois, de ton point de vue il s'agit d'une immense coupelle, mais bien plus profonde et directement posée au sol.
Il y a aussi des plus petits meubles, de la taille du maidevoar, eux aussi semblent être des récipients, ils ont des protubérances sur le haut à travers les quelles tu pourrait passer si tu le voulais.
Tous ces objet sont en bois et en métal et trop lourd pour que tu puisse les faire tomber, malgré tout tes efforts.

Allons voir la grande coupelle, avec un peu de chance, il y aura des boules rouges. Sinon j'irai renifler les autres récipients, mais j'ai comme un doute quand à rentrer dedans.

L'immense coupelle n'a aucune odeurs proches de la partie rouge des boules, mais on ne sait jamais.
Tu t'en approche et la renifle profondément, tu es alors surpris par une odeur étrange et piquant ton nez, elle recouvre toute les autres odeurs et même quand tu t'éloignes de la grande coupelle, l'odeur est vraiment trop désagréable, tes narines sont toujours remplies de cette odeur, heureusement qu'elle est bloquée dans cette salle.
Alors que tu te frottes le museau avec une patte avant, tu entends le rire de l'humaine qui t'accompagne.

Je ressors tout de suite de cette salle, et je décide d'aller vers les voix en bas.

Tu ressors en entendant le rire de l'humaine et traverse la longue salle vers le passage vers le bas.
Une fois arriver en haut de celui-ci tu découvres qu'il y a une succession de petites chutes qui forment un virage vers la gauche, tu ne vois pas ce qu'il y a en-bas.

Spoiler:

Tu commence à descendre en sautant les petites chutes une à une et finis par arriver devant un panneau de bois, il y a quelques voix venant de l'autre côté du panneau.
L'humaine te ramasse. "Attends, je vais t'ouvrir la porte." Elle ouvre le panneau de bois et fais un pas avec toi dans la nouvelle salle.

C'est une grande salle avec de nombreux meubles et plusieurs panneaux de bois.
Du côté droit il y a un coin d'où provient une chaleur agréable en regardant par là tu es surpris d'y voir un gros chat orange dormant au-dessus d'un cadre où des langues rouges et jaunes dansent dans les airs. Devant le cadre des langues, il y a une couverture au sol et des gros meubles rembourrés à l'ai très confortable.
Sur le côté gauche il y a un panneau de bois dans le mur et un meuble ressemblant au très haut meuble de la première salle, mais en plus petit.
En face il y a un dernier panneau de bois.

Spoiler:

De ce dernier panneau vient une odeur intéressante et alléchante.